“J’peux pas, je dois faire tourner une machine.”<\/strong><\/p>\n Voil\u00e0\u00a0une nouvelle excuse cr\u00e9dible pour vous \u00e9viter une \u00e9ni\u00e8me mondanit\u00e9 cette semaine. Apr\u00e8s tout, on est jamais mieux servi que par son propre room service (maman revient).<\/p>\n Au lieu d’aller faire la fouine aux ragots au bistro en bas du boulot, avec des coll\u00e8gues tout aussi affam\u00e9(e)s de gossip, rentrons chez nous pour regarder tourner le tambour de la machine \u00e0 laver (des adeptes de l’hypnose ?) Petit bonus vintage en vid\u00e9o :
\nApr\u00e8s le m\u00e9nage<\/a>, la lessive n’est plus vraiment une corv\u00e9e mais presque un instant de luxe bien packag\u00e9 comme sait si bien le faire The Laundress<\/a>. Entre la lessive de Francis Kurkdjian<\/a> \u00e0 des prix ignorants toute concurrence, les sprays m\u00e9ga-extra-supra-purs-frais pour textiles de Kerzon<\/a> ou encore la brume d’oreiller pour se re-la-xer de l’Occitane<\/a>, la course au linge tout\u00a0propre est lanc\u00e9e.<\/p>\n
\nYou put in the water, you wash it, you wash it… you riiiiinse, you riiiinse, you riiiiiiiiiinse –\u00a0You smell ? It smells like a flower !<\/em><\/p>\n